ENTRETIEN - Le réalisateur de «La Belle Époque» a relevé le défi du troisième volet des aventures parodiques de l’espion créé par Jean Bruce. Pour lui, ce divertissement pur est aussi un film qui lui ressemble.
Une douzaine d’années s’est écoulée entre le deuxième OSS 117. Rio ne répond plus et ce troisième volet, Alerte rouge en Afrique noire, réalisé par Nicolas Bedos. Depuis que le réalisateur des deux premiers, Michel Hazanavicius, a décliné l’offre de Gaumont, ce projet de comédie d’espionnage cherchait un cinéaste. La mise en scène en aurait été proposée à Wes Anderson, Pierre Salvadori, Laurent Tirard ou Jonathan Barré.
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Après le succès de Monsieur & Madame Adelman et de La Belle Époque, Nicolas Bedos a lui aussi été courtisé. N’écoutant que son courage, et par amitié pour Jean Dujardin, le fils de Guy Bedos s’y est attelé. Sans langue de bois, ni affèteries, le cinéaste, qui tourne son quatrième film, Mascarade, explique pourquoi il a relevé ce défi plutôt risqué.
LE FIGARO. - Pourquoi avez-vous accepté de réaliser ce troisième volet?
Nicolas BEDOS. - D’abord pour le défi. Il fallait une certaine humilité pour accepter un film refusé par plusieurs confrères, parce qu’ils ne voulaient pas prendre
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